Désolé Taku, je lui dois obéissance sans faille, j'suis son esclave ^^'
(elle me fouette pas la charogne cay honteux !!)Et au passage Ama on écrit "Salaud" ch'pas si tu le fait exprès mais c'pas bien de donner un mauvais exemple kouça aux jeunes ! è_é
Pour la compréhension, j'ai fait une sorte de pré-IRL la veille à la base je venais juste tenir compagnie à Fourbe (je te soutien d'ailleurs qu'une bière à 14h c'est absolument pas anormal) puis sont arrivé Dalamar, Sanael, Jeune-Démon et une autre personne il me semble. On a fait un saut chez Sanael (où j'ai dévoilé ma technique secrète de décapsulage) puis on est sorti récupérer Nidala et Amanda avant d'aller se faire une bouffe.
Alors, l'IRL du 19 janvier 2008 à Pairs du point de vue de votre geek ultime (C'est Fourbe qui l'a dit
) :
Merde, en retard d'une demi heure. Je sors de la bouche de métro après une sublime esquive de 400~500m dans les sous-terrains de St-Michel. Ha la fontaine... J'y ai pas foutu les pieds depuis cet achat de jeux Amiga d'occasion y'a une dizaine d'années... Je vois deux attroupement distincts. Le plus proche est constitué d'une demi-douzaine de jeunes filles à l'air plutôt sympathique, l'autre des gens habillés en noir pour la plupart, vestes longues pour beaucoup et certains en cuir. Mon choix est vite fait. Je fais quelque pas quand l'une des personne avec qui j'ai fait la pré-IRL la veille me fait un signe de tête. Dommage, je rejoins l'IRL. Beaucoup de monde est déjà sur place, je commence à serrer les paluches de ceux que je connais d'hier (
Dalamar,
Sanael et
Nidala) j'apprends par Sanael que Jeune-Demon, Amanda et Fourbe auront du retard et que le groupe de fille fête un enterrement de vie de jeune fille... Visiblement il a eu la même idée que moi. Plein de monde que je ne connais pas. Je reconnais
KnightWolf, ma plus vielle connaissance de Dofus, inaccessible pour le moment. Une fille me regarde étrangement, je suppose qu'il s'agit de
Mistra qui se demande qui est ce nouveau venu, je fini par me présenter "HA ! MON FILLEUL !!"
(yatta). Je fini enfin par pouvoir approcher de Wolf pour lui serrer aussi la main (j'apprendrais plus tard qu'il n'a pas du tout compris qui j'étais sur le coup).
J'écoute quelques conversation, passe d'un groupe à l'autre en tentant de paraître dans mon élément, quand les tremblement commence je prends un médicament après que Mistra nous ai montré ses cigarillos aromatisées (rhum, caramel, ...). Visiblement LittlePan, qui vient d'arriver, apprécie ma médecine. Je vais tirer de l'argent dans le distributeur à côté et nous partons. Direction le Cumbia.
La vision d'une trentaine de personne plus ou moins âgée dont 2/3 passant au dessus des portillons automatique a laissé pantoise la guichetière. Nous nous engouffrons dans un RER dont je tiens la porte ouverte une bonne minute pour laisser entrer tout le monde.
Un de mes
voisins direct m'interpelle :
- T'es qui dans le jeu ?
- Kageyami... Un Daedrik.
- Ok.
- Il est de Jiva, tu le connais pas.
- Ouais mais il était dans mon lycée.
- G !
Bha merde alors. Que Dieu m'tripote (merci mon dieu) ! J'apprendrais plus tard qu'ils était un petit groupe d'amis a être de mon ancien lycée. Sortie. On se suit tant bien que mal et nous arrivons tous (en 3 vagues) au Cumbia. L'évidente supériorité parisienne se faisait sentir sur le chemin. Les 50m d'avance que les autochtones ont sur le reste du groupe me font comprendre pourquoi on dit qu'ils sont stressés et toujours pressés tel le citron. Je commence l'après-midi calmement avec une bière. Sanael attaque au tipunch. Je recommence mon cinéma. On se ballade, on essaye de pas ressembler à Helmut Perchu encerclé par des Niluges
(J'peux m'frotter contre votre jambe ?!). La veille le bar m'avait semblé un peu petit pour loger 40 dofusiens. Le poste de police à 100m m'avait aussi semblé un peu dangereux. Dans les deux cas je me trompais.
Certe, il y avait peut de places assises mais le Cumbia était un bar d'aspect
plutôt sympathique, composé de
deux petites salles et un pipi room (derrière le rideau), le patron (Pablo) l'est aussi et l'humeur est
plus que joviale. Un petit groupe mené par l'
abbé ira se chercher un kebab pour casser la croute. Plus tard,
illustre inconnu tentera de me prendre en photo mais je lui fait "gentiment" comprendre que c'est une très mauvaise idée. A la suite de quoi ça deviendra une petite blague. Fourbe, JD et Amanda arriveront sans que je le sache, trop occupé à finir une Leffe (le patron n'a d'ailleurs pas marché dans la combine de la paille... un plan pourtant sans faille). L'après-midi avance et Mistra nous confronte une nouvelle à nos différences culturelles grâce à son briquet électrique. Lequel possède une sécurité d'utilisation (il faut tirer le bouton avant d'appuyer) ainsi qu'un autocollant préventif sur lequel on peut lire "Attention, ce briquet contient un gaz inflammable" et "Vérifiez que le briquet est éteint avant de le remettre dans votre poche". Que les [censure] du kaiser me fouettent le fion ! Douglas Adams avait raison ! Ces gens sont fous, il faut d'urgence s'enfermer dehors ! Vite, un médicament. L'abbé me passe un de ses antianxiolique en prime, avec ça, je tiendrais le coup. Vite quelque chose à boire, j'ai la gorge sèche.
- Vous utilisez quoi comme vodka ?
- [donne le nom, que j'ai pas retenu mais il ne s'agissait pas de ma Zubrovka fétiche]
devant mon air un peu embarrassé, Sanael (déjà plein) intervient.
- Le patron, sa spécialité c'est la vodka, si il te dit qu'elle est bonne, elle l'est. d'ailleurs son cocktail favoris c'est le russe blanc.
Après une explication de la recette, j'accepte de tester (y'a du lait dedans ça ne peut qu'être bon), de la glace, un large verre, une paille. Effectivement ils savent servir la vodka. Avant d'avoir pu m'en rendre compte, le contenu de mon verre s'est évaporé. Dommage. Il fait
nuit depuis un moment déjà, Fourbe et moi avons déjà commencé à hurler "PAYS D'GALLE INDEPENDAAAANT !!" et beaucoup commencent à se plaindre de la faim. Qu'a celà ne tienne ! Sanael nous conduit fièrement jusqu'au restaurant chinois, un verre vide du Cumbia en guise d'étendard, pendant que
Mistra et Marix, ivres, se montrent leur affection sous les plaintes des mâles, blessés dans leurs égos. Le passage d'une quarantaine de jeunes pas tout à fait frais devant le poste ne semble pas gêner les fonctionnaires de police, pour le prouver aux hérétiques, Sanael les salut de son Graal au passage. Le voyage se fait sans encombres (mis à part une tentative d'aggro de ma part sur la personne de Maluka pour photo non-autorisée), KW repère une
étrange coïncidence sur le chemin.
Arrivée au restaurant, 5 autochtones en tête. Sanael gène notre entrée avec panache :
- Bonjour ?
- Bonjour, vous avez de la place pour 40 ?
C'est l'arrivée du reste du groupe qui fait comprendre à ce noble restaurateur que l'
homme avec un verre -frappé du blason Pelforth- à la main ne plaisante absolument pas. Trois tables de dix et deux autres tables plus petites sont réquisitionnées. Visiblement certains sont restés en arrière. Je me retrouve à une
table avec Sylfaen, Miho, KnightWolf, Sanael, Mabu, LittlePan, l'AbbéPierre et SuperNovae. Nous commandons presque tous un Bô Bun (seul KW a réussi à le trouver du premier coup sur la carte) que Sanael accompagne d'une autre bière, un repas assez complet bien que peu bourratif. Sylf fait un tour de table, c'est a ce moment là que Wolf réalise qu'il me connaissait d'avant l'IRL. Les discutions divergent (et c'est énorme !) de Dofus. Au programme "comment réussir sa vie en vendant des pattes instantanées à l'entrée du studio" par Sylfaen puis un débat sur les bêtises de rôlistes (surtout dans l'Appel de Cthulhu) entre Miho, Wolf et moi ("ne vous inquiétez pas, on a retrouvé votre mari : il est mort" dit la psy a la femme en état de choc). LittlePan à la mauvaise idée de commander deux litres de rouge absolument infect que j'ai tenté, dans ma grande inconscience, de finir avant notre départ après avoir infructueusement tenté de le faire circuler entre les tables (
1) (
2). On fait l'addition et des
dédicaces sur la nappe, puis on se
retrouve hors du restau, où je discute avec Fourbe puis on retourne au Cumbia, un verre du chinois en plus et un verre Pelforth en moins (il a cassé pendant la marche j'étais trop loin pour y assister). On y on retrouve les disparus, et on récupère quelques poivrots, je rencontre Lilith qui a, semble-t-il, pensé que j'allai l'aggro. La présence d'un DJ de drum'n'bass nous force à rapidement faire des provisions (Jack Daniel's, Zubrovka, packs de bière... j'en profite pour réserver le manteau de ma vodka fétiche à Jeune-Démon grâce à Supplication lvl4) et repartir. Nous repassons devant les gardiens de l'ordre, plus bourrés et mieux équipés qu'avant sans plus de réaction de leur part. La mission est donné :
- On va sur les quais !
Je ne sais pas comment mais nous nous sommes retrouvés sur le
toit de la bibliothèque nationale, encerclé de garde-fous horizontaux et grillagés avec des trous de plus en plus larges. Si bien que je me suis rapidement rendu compte qu'une fois arrivé au bout je pouvais très bien chuter (Fourbe, je suis blessé que tu ai refusé de me secourir si mes estimations étaient justes !
) des
batailles de caps sont organisée et tous les coups sont permis (topless déconcentrant, ...). Un petit combat amical opposant Wolf et Sanael eu lieu. Combat où le second pu démontrer avec brio que de nombreuses années de karatés ne permettent pas rétablir une gravité normale lorsque l'on tente, bourré, un roundhouse kick à la Chuck Norris.
Une fois les bouteilles vides et le fond de l'air se rafraîchissant (ainsi que le fond de l'eau, mais peu le savent) direction l'
appart de Sanael où, encore une fois, les lois de l'architecture moderne n'ont pas semblés s'appliquer. Avant d'entrer j'ai été interpellé par Jeune-Démon pour l'observation d'un logo sur une voiture était-ce l'alcool qui me faisait voir un :A au lieu de deux sticmen en position explicite ou était-ce une blague ? je ne le saurais probablement jamais. En tout cas c'est dans cet appartement qu'a commencé le début de la fin, je ne saurais pas dire tout ce qui s'est passé étant donné les douleurs abdominales dues au rouge chinois. Je me souviens avoir dû brancher la stéréo sur le portable de Sanael, puis je change de chaise pour une raison que j'ignore et me met à somnoler pour oublier ce fichu vin.
- Hé Kage ! Tu peux me passer un autre toncar ?
Je fouille mes poches, le sort, le donne et fonce à la salle de bain (je n'ai pas souvenir d'avoir récupéré mon carton mais pourtant je l'ai retrouvé à sa place le lendemain) pour me laver l'estomac. Zut, les toilettes sont occupées par un autre malade.
- T'en as pour longtemps ?
- Rhaaaaa x_x
- Heu... Ok.
Du lavabo vient mon salut. Je tente de le nettoyer. Bouché. JudoBoy intervient.
- Non t'en fait pas c'est pas bouché, y'a un bouchon, tu le vire et c'est bon. Un, deux.. trois. Ho merde c'est vraiment bouché.
Il a eu tort de penser que j'étais ivre. Je me souviens aussi d'une giclée sur une porte depuis la mezzanine, d'une erreur de débutant qui n'aura eu pour effet que d'arroser les murs en plus du sol et de l'Abbé qui parvenait à rester conscient en étant totalement déchiré (j'admire la performance). Et surtout d'avoir discuter avec Fourbe et Wolf hors de cet endroit trop plein de monde avant que l'on parte chacun de notre côté. En taxi ou avec les premiers métros.
Voilà voilà. En prime, quelques démonstrations de méditation par celle que nous étions venu voir : Lady-Mistra ! (
1) (
2)
une photo de la
platine du DJ DnB
Une photo
prise du toit où l'on peut voir Miho et Jibece (il me semble).
Et pour vous prouver que le poste est pas loin :
Vous voyez le petit car ? (
le reste de l'album)
Et maintenant moi j'vais coucher parce qu'il se fait tôt
(dire que j'avais prévu de dormir tôt. si tu l'étais pas déjà je te maudirais p'tite chose et pas la peine de dire "j''t'avais pas d'mandé de le faire maintenant" ! è_é)